EAU
Tous les travaux doivent être effectués selon le règlement communal sur la distribution de l’eau
VOIRIE
ORDURES MENAGERES
Pour nous aider a sauvegarder notre environnement et ne pas augmenter nos frais, pratiquez le tri actif des déchets et ne mettez, dans vos sacs poubelles, que des ordures incinérables.
Vous trouverez à la déchetterie des collecteurs pour tous vos déchets.
Le ramassage des déchêts compostables se fait tous les mardis dès 7h30 durant l’horaire d’été et un mardi sur deux pendant l’horaire d’hiver (cliquer sur le bouton ci-dessous pour télécharger les dates de ramassage).
Les Moloks sont contrôlés et vidés par notre transporteur.
DÉCHETS ENCOMBRANTS
Les déchets encombrants doivent être déposés à la déchetterie qui les prend en charge sans frais suplémentaire pour les habitants du territoire communal.
ACTIVITES
- Entretien, nettoyage et déneigement du réseau routier communal
- Entretien des collecteurs d’eaux usées et eaux claires, travaux de génie civil
- Ramassage des déchets
- Entretien des ponts et passerelles.
- Entretien des places de jeux et des bancs publics
- Entretien des terrains de football
- Nettoyage des fontaines
- Entretien de l’éclairage public
- Taille des haies
- Entretien du cimetière
- Gestion et entretien du réseau d’eau potable
- Entretien du centre communal du Verger
- Entretien du collège
- Entretien du domaine forestier
- Entretien des bureaux communaux
- Entretien de l’église et de l’ancien collège
- Entretien des locaux du SDIS
- Gestion de la piscine
- Gestion de la patinoire
- Gestion du camping
Fôrets
Composition en essences
Nos forêts sont composées d’environ 30 % de résineux, soit l’épicea en majorité suivi du sapin, du mélèze et du pin. Chez les feuillus, le hêtre vient largement en tête, suivi du frêne, du chêne et de feuillus divers (cerisier, etc.)
La commune de PENTHALAZ compte environ 39 ha de forêts, dont 24 ha au bois du Devin et « En Rié », 2 ha au bois Denezy sur le territoire de LUSSERY-VILLARS, 7 ha dans les côtes de COSSONAY et 6 ha au bois de Vaux.
Parc et promenades
La commune de PENTHALAZ compte environ 39 ha de forêts, dont 24 ha au bois du Devin et « En Rié », 2 ha au bois Denezy sur le territoire de LUSSERY-VILLARS, 7 ha dans les côtes de COSSONAY et 6 ha au bois de Vaux.
Lutte obligatoire contre les plantes nuisibles
Les plantes nuisibles contre lesquelles la lutte est obligatoire sur le territoire cantonal sont définies par le Règlement sur la protection des végétaux du 15 décembre 2010 (RPV), 916.131.1.
Ce sont :
• le chardon des champs (Cirsium arvense),
• le cirse laineux (Cirsium eriophorum),
• le cirse vulgaire (Cirsium vulgare),
• la folle avoine (Avena fatua)
Agir sans attendre Le chardon des champs, le cirse laineux et le cirse vulgaire doivent être éliminés avant la formation des graines conformément à l’article 14 du RPV. Cette disposition vise à empêcher la dissémination des graines par le vent et ainsi prévenir leur propagation dans le voisinage. Les exploitants ou, à défaut, les propriétaires des biens-fonds ou des plantes concernés exécutent ces mesures à leurs frais.
Feu bactérien
On nous signale l’arrivée en Suisse romande (Vaud, Jura, Jura bernois) de quelques cas d’infection de feu bactérien. Voici donc un petit descriptif sur le sujet.
Le feu bactérien, provoqué par la bactérie Erwinia amylovora, est l’une des plus dangereuses maladies des poiriers, des pommiers et de quelques autres espèces de pomacées. Cette bactériose représente une très grande menace pour notre arboriculture, en raison :
- de sa très haute virulence: elle peut tuer un poirier en production en une saison
- de l’absence de moyen de lutte efficace
- de l’abondante diffusion dans le pays d’arbustes d’ornement très sensibles à la maladie
- des conditions climatiques favorables aux infections dans la plupart des régions arboricoles de notre pays
Propagation du feu bactérien
La propagation du feu bactérien
Dès le printemps, les insectes ainsi que la pluie et le vent peuvent disséminer la maladie d’une plante ou d’une culture à l’autre en entraînant des bactéries contenues par myriades dans les gouttelettes d’exsudat dégagées au bord des chancres, ou plus tard à la surface des pousses annuelles nouvellement infectées. Certaines espèces hôtes ont la propriété de refleurir tout au long de la période de végétation, accroissant ainsi considérablement le risque d’infection. La maladie est également transmise par l’homme, notamment à l’aide d’outils de taille qui sont contaminés par des bactéries.
Comment reconnait-on le feu bactérien?
Comment reconnait-on le feu bactérien?
Noircissement et dessèchement sur place des bouquets floraux ou des pousses tendres (printemps et été) qui se recourbent en crosses caractéristiques. Les feuilles des parties atteintes semblent brûlées par le feu. A la base des parties nécrosées, présence possible d’exsudat blanc à brun caractéristique de la maladie. Pénétration des bactéries par les fleurs, surtout de seconde floraison, et par toutes les plaies occasionnées sur les pousses (grêle par exemple). Progression rapide le long des rameaux vers les charpentières puis le tronc, pouvant entraîner la mort de l’arbre. Dissémination par les pluies, les insectes et le transport des plants de greffons malades.
Propagation du feu bactérien
Mesures de défense contre le feu bactérien
- Respecter absolument l’interdiction d’importer tout arbre, arbuste et rameaux fleuris des plantes concernées.
- Surveiller attentivement et fréquemment votre jardin pour déceler immédiatement tout foyer.
- Le succès d’une campagne d’éradication dépend avant tout de la rapidité des mesures d’intervention.
- Ne pas envoyer de matériel et ne pas toucher les plantes malades.
Mesures de lutte
Mesures de lutte
Il n’existe par de produit de traitement efficace contre le feu bactérien. Dans les régions concernées, il faut réaliser des contrôles réguliers et arracher immédiatement les plantes malades. À part les vergers, il faut contrôler les arbres isolés, ainsi que les plantes hôtes des haies et des zones résidentielles.
Le matériel végétal infecté est dangereux (Attention : ne pas toucher !), car il peut assurer la propagation de la maladie. En présence de cas suspects, un échantillon doit être prélevé par une personne agréée et analysé en laboratoire. La loi exige que le feu bactérien soit annoncé. Comme il s’agit d’une maladie dangereuse, depuis 1972 il est interdit d’importer des plantes hôtes, à moins de passer par la station de quarantaine. L’interdiction ne concerne pas seulement les envois commerciaux, mais également toute importation ou acquisition de plantes hôtes (rameaux-greffons et bouture compris) depuis l’étranger par des particuliers.
Cette maladie est sans danger pour les êtres humains.